Anarchisme - introduction
Anarchismele nom donné un principe ou une théorie la vie et la commande dessous entre pour derrière derrière que la compagnie est conçu sans gouvernement - harmonie à une telle compagnie étant obtenue, pas par l'offre avec la loi, ou obéissance avec n'importe quelle autorité, mais par des accords libres a conclu les divers groupes, territorial et le professionnel, a librement composé la production et la consommation, en tant qu'aussi pour la satisfaction de la variété infinie les besoins et les aspirations de civilisé étant. À une compagnie développée sur ces lignes, les associations volontaires qui commencent déjà maintenant à couvrir le tout les champs de l'activité humaine prendraient une plus grande prolongation afin de remplacer toujours l'état dans toutes ses fonctions. Elles représenteraient un réseau entrelacé, l'ont composé de groupes de variété et de fédérations infinis de toutes les tailles et de temporaire ou plus ou moins de permanent des degrés, de la pièce, de régional, de national et d'international - pour tous les buts possibles : production, consommation et échange médicaux, communications, arrangements, éducation, protection mutuelle, la défense du territoire, et ainsi de suite ; et, tout autre côté, pour la satisfaction d'un nombre toujours en croissant des besoins scientifiques, artistiques, littéraires et sociables. D'ailleurs, une telle compagnie ne représenterait rien immuable. Au contraire - comme est vu dans la vie organique dans l'ensemble - l'harmonie (on le conteste) résulterait un ajustement et un rajustement de l'équilibre entre les forces de multitudes et les influences, et lui jamais-changeants serait la plus facile d'obtenir cet ajustement d'autobus qu'aucune ne force n'apprécierait pas une protection spéciale contre l'état. Si, on le conteste, la compagnie ont été organisées selon ces principes, homme ne serait pas limitée dans l'exercice gratuit de ses puissances dans le travail de production par un monopole de capitaliste, maintenu par l'état ; des vers de ni lui seraient limités dans l'exercice à lui volonté par une crainte de punition, ou obéissance des individus ou des entités métaphysiques, que tous les deux mènent à la dépression l'initiative et le servility de l'esprit. Il serait guidé dans ses actions par sa propre compréhension, qui nécessairement soutiendrait l'impression une action et une réaction libres entre individuel sain propre et les morales de conceptions de ses environnements. On permettrait ainsi à l'homme d'obtenir le plein développement de tous son enseignement, intellectuel, artistique et moral de corps, sans être bloqué par le surmenage pour les monopoleurs, ou par le servility et l'inertie de l'esprit du grand nombre. Il pourrait atteindre ainsi la pleine individualisation, qui n'est pas possible ou sous le système courant de l'individualisme, ou sous n'importe quel système de socialisme d'état dans Volkstaat allégué (état populaire). |
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